6 septembre 2009
7
06
/09
/septembre
/2009
16:17
Mais disais-je :
Je faisais ma valise avec un sentiment de joie intérieure rien qu'à l'idée de retrouver mon lit !
Aéroport de Théssalonique 9 H 30 du matin, vol prévu à 11 H 50.
Lmvie fait la queue gentiment à l'enregistrement des bagages, il y avait du monde, encombré bien sûr.
Je remarquais, cependant, qu'une fois l'enregistrement effectué les personnes " gardaient " leurs valises qui normalement auraient dû être déposées sur le tapis à notre grand soulagement, et tentaient au milieu de cette queue tassée, sans barrière, informe, d'où l'expression " sans queue ni tête ", de se frayer un passage " avec " leurs valises et chariot, vous arrachant au passage votre jupe, pour régresser au point de départ de la queue pour aller en faire une autre ????????
J'en ai vu des aéroports dans ma vie mais c'était la première fois que je voyais ce système qui engendrait une pagaille colossale pour ne pas dire autre chose...
Lmvie à toi...enregistre, reprends ta valise et arrache quelques sacs à main au passage pour aller comme Panurge gentiment poireauter sur l'autre file.
Au bout d'un quart d'heure de patience et dès lors qu'il ne restaient que quelques personnes devant moi, une autre hôtesse se dirige vers ma valise, regarde l'étiquette et me dit dans un " grecquanglais", que ce n'est pas la bonne file et que je dois aller ailleurs en faire une autre...!!!
Respire Lm, respire...
Je ne sais pas pourquoi, sans doute un sixième sens qui n'appartient qu'à moi et que j'ai dû développer dans ces lieux que je fréquente souvent, je lui demande au passage si l'avion a du retard...
Une heure trente me dit-elle...Re respire Lm, re respire.
Bien sûuuuuuuuuuuuuuuuur...
Je m'installe donc en salle d'embarquement et patiente avec Raymond Devos.
Heureusement Raymond que je t'avais...le rire était au rendez-vous : " J'ai la mémoire de ce que j'oublie. Si j'oublie de fermer le gaz, je me souviens très bien de l'avoir oublié ".
Chouette, bonne nouvelle !
Mon mari étant resté à demeure je ne risquais pas en rentrant de faire péter la baraque !
Je vous raconterai la suite demain car je dois reposer mes p'tits nerfs.
Je faisais ma valise avec un sentiment de joie intérieure rien qu'à l'idée de retrouver mon lit !
Aéroport de Théssalonique 9 H 30 du matin, vol prévu à 11 H 50.
Lmvie fait la queue gentiment à l'enregistrement des bagages, il y avait du monde, encombré bien sûr.
Je remarquais, cependant, qu'une fois l'enregistrement effectué les personnes " gardaient " leurs valises qui normalement auraient dû être déposées sur le tapis à notre grand soulagement, et tentaient au milieu de cette queue tassée, sans barrière, informe, d'où l'expression " sans queue ni tête ", de se frayer un passage " avec " leurs valises et chariot, vous arrachant au passage votre jupe, pour régresser au point de départ de la queue pour aller en faire une autre ????????
J'en ai vu des aéroports dans ma vie mais c'était la première fois que je voyais ce système qui engendrait une pagaille colossale pour ne pas dire autre chose...
Lmvie à toi...enregistre, reprends ta valise et arrache quelques sacs à main au passage pour aller comme Panurge gentiment poireauter sur l'autre file.
Au bout d'un quart d'heure de patience et dès lors qu'il ne restaient que quelques personnes devant moi, une autre hôtesse se dirige vers ma valise, regarde l'étiquette et me dit dans un " grecquanglais", que ce n'est pas la bonne file et que je dois aller ailleurs en faire une autre...!!!
Respire Lm, respire...
Je ne sais pas pourquoi, sans doute un sixième sens qui n'appartient qu'à moi et que j'ai dû développer dans ces lieux que je fréquente souvent, je lui demande au passage si l'avion a du retard...
Une heure trente me dit-elle...Re respire Lm, re respire.
Bien sûuuuuuuuuuuuuuuuur...
Je m'installe donc en salle d'embarquement et patiente avec Raymond Devos.
Heureusement Raymond que je t'avais...le rire était au rendez-vous : " J'ai la mémoire de ce que j'oublie. Si j'oublie de fermer le gaz, je me souviens très bien de l'avoir oublié ".
Chouette, bonne nouvelle !
Mon mari étant resté à demeure je ne risquais pas en rentrant de faire péter la baraque !
Je vous raconterai la suite demain car je dois reposer mes p'tits nerfs.