Pour toi Caramba
Avec du retard mais bon le coeur y est...
Plumes et poils
Chaleur idéale,
Reproduction immorale.
Voici mon texte cher Carambaolé avec les mots suivants imposés:
Pin pon
Orteil
Chambre
Baldaquin
Canard
Soleil
Soupe
Douceur
Mélopée
Avoine
Pin Pon mon ours en peluche à qui il manque un orteil, car je suce sa patte pour m'endormir (à quinze mois je suce ce qui se trouve à ma portée un point c'est tout) trônait sur mon lit à baldaquin dans ma chambre baignée de soleil...un peu longue ma phrase, mais tu as vu Caramba j'en ai casé plusieurs 
A peine avais-je englouti ma soupe de flocons d'avoine (berk ! les adultes nous font avaler des trucs pas possible) que je courrais (enfin façon de parler, car avec une couche pas évident !) le rejoindre, ainsi que Piou Piou mon canard chéri pour leur chanter (re façon de parler vu mon âge) une mélopée emplie de douceur qui me rassurait.
Car moi je n'avais plus de mère pour m'en chanter une.
Comme j’ai envie d’te faire plaisir
Je vais répondre à ton désir
Et avec concentration
Oublier ma constipation
Je vais jouer à la perruche
En essayant d’pas faire la cruche
Répandre tes mots, quelle chance
Non dénués d’charme et d’élégance
Sans massacrer la langue française
Essayer d’prendre aussi mes aises
Sans transpirer je m’les farcis
Sinon t’faudrait un parapluie
Ou passer la serpillère
T’as sûrement aut’chose à faire
Assez déjà d’tous ces icebergs
Qui fondent trop sous le soleil
Pas tâcher ta belle moquette
Car je sais qu’ tu es coquette…
Allez c’est bon ils sont tous là
J’ai encore fait mon cinéma
Mais pour toi j’adore ça
Un p’tit tour et pis j’m’en vas….
Voire même en alexandrins !
Mais où voyez-vous donc perruches arrogantes ?
Monsieur je vous en prie, modérez vos propos.
Nous posons une question somme toute intéressante,
Qui ne veut nullement massacrer votre égo.
Bien sûr elle est farcie avec grande élégance,
Du souhait de lever cette constipation,
Qui attaque les hommes en certaines circonstances,
Et bloque le transit de leurs vraies émotions.
La moquette, cher monsieur, nous la fumons sans doute,
Mais c'est celle qui tapisse la paroi de nos coeurs.
Car tel un iceberg vous planquez bien en soute,
Les trois-quart sentiment de vos mâles humeurs.
Vous laissez transpirer si peu de vos émois,
Qu'il n'y a point besoin de sortir serpillière.
Rien n'est à éponger, ça ne déborde pas,
Ce que nous déplorons de féminine manière.
Et pour en terminer, Monsieur, l'on vous en prie,
Laissez-vous donc aimer, rangez ce parapluie....
je vous laisse avec ce petit jeu pour pallier "mon absence très lourde à porter". 
J’étais dans un état de constipation générale du fait que je n’avais pas eu de ses nouvelles depuis un peu trop longtemps et voilà qu’il débarque impromptu.
Moi qui étais toujours d’une élégance parfaite, arborais ce jour une grosse tache provenant du plat de tomates farcies que je venais de renverser en le sortant du four. J’étais si furieuse que si je ne m’étais retenue j’aurais massacré toutes ces perruches qui ricanaient dans la salle à manger. Bien entendu Mariette se cachait et je dus moi-même passer la serpillère. Je suais de honte et de colère quand il dut me ramasser par terre après que je me fus emmêlé les pieds dans le parapluie que je ne sais qui avait laissé trainer en plein milieu de mon chemin. Le derrière sur la moquette, dans ma robe blanche maculée de sauce tomate, il eut le culot de dire que je lui faisais penser à un iceberg après le passage du Titanic et de partir amusé de ma déconvenue.
Elle s’appelle Angèle, elle n’est pas la reine de l’élégance.
Elle porte toujours la même robe grise qui finit par ressembler à une serpillière.
Quand elle sort, elle jette sur ses épaules une cape en poils de moquette noire.
Elle est toujours armée d’un vieux parapluie pour menacer les enfants moqueurs.
Son mari est parti, il y a longtemps pour massacrer des phoques en Norvège.
Il n’est jamais revenu. Le pan d’un iceberg, en se détachant, l’a rendue veuve.
Depuis, elle vit seule dans une petite maison, en bas du village.
Elle élève des perruches multicolores, qu’elle laisse voler dans la maison.
Elle est un peu guérisseuse et rebouteuse.
Elle a la tête farcie de recettes et de potions magiques.
Lorsqu’un villageois lui rend visite, pour une entorse ou une constipation.
Elle lui ordonne, avant tout remède, de retourner le jardin ou de fendre du bois pour l’hiver.
Elle affirme qu’avant de guérir un mal, il faut transpirer...
Elle est rusée Angèle!
Transpirer sans parapluie en passant avec élégance la serpillère sur la moquette posée à même sur l'iceberg en voyant massacrer des perruches, l'homme se farcit une constipation d'enfer...
Recette de grand-mère esquimeau
Si vous êtes atteint de constipation rien ne vaut une cure d'iceberg .Parfaitement!
Il faut d'abord, en ramener un de la banquise.
Si vous n'avez pas de barque, vous mettez un parapluie à l'envers et vogue la galère!
Inutile de mettre un chapeau, on ne peut pas transpirer sur la banquise.
Mais attention il ne s'agit pas de massacrer un beau bout de glace à coup de pic!
Il faut faire cela avec élégance, sinon vous aurez l'air d'une perruche qui s'est farcie le découpage d'une peau d'ours polaire!
Je vous déconseille de déposer votre bout de glace qur la moquette:
Cela laisse des traces!
Pour plus de sécurité mettez votre bout d'iceberg dans une bassine, pour éviter les débordements dont souffriraient les voisins du dessous, prévoyez une serpillière !
Et faites un bain de siège d'une heure.
Si vous arrivez à vous décoller de la glace , vous êtes guéri
Je vous garantis le résultat!!
Bon que dois je faire aujourd'hui ????
Les problèmes de constipation on verra cela après.
Il faut que je donne à manger aux perruches, elles sont belles,
elles m'attendent avec élégance dans leur volière.
Maintenant je dois donner le coup de serpillière.
Yen a marre ! Pourquoi c'est moi qui se farci toutes ces tâches ?
Monsieur est tranquillement installé dans le canapé, il regarde la télé.
Il s'éclate devant le Titanic, qui vient de percuter un iceberg.
Le voilà qui râle, il parait que je fait du bruit.
C'est sûr, je dois aspirer la moquette, un aspirateur silencieux, je ne connais pas.
Il me regarde courir à gauche, à droite, ce n'est pas lui qui va transpirer.
Il m'énerve, je vais le massacrer tiens si je prenais le parapluie.
Ce n'est que la partie visible de l'iceberg ,car à voir mes pérruches massacrées à coup de parapluie sur la moquette avec élégance j'ai pris une serpillère j'ai transpiré et me suis farcie une constipation
La Constipation de notre pays
Mélange élégance et arrogance.
Telles des perruches qui se font massacrer
Ou comme des dindes farcies
Les honnêtes personnes sont prises pour des serpillières
Sur lesquelles nos élus frottent leur pieds crottés
Avant d’arpenter leur jolies moquettes…
« Transpirez, transpirez » nous dit-on
Sous le soleil ou sous la pluie !
Les hommes aux cœurs iceberg
S’assurent « des parapluies dorés »
Sans être un tant soit peu constipés…
Ce pays a la constipation
Et on nous prend pour des cons…
Après m'être farcie le passage de la serpillière
dans toute la maison
et avoir transpiré comme un phoque,
je suis allée m'allonger dans mon salon.
Sur ma moquette bouclette bleu horizon
je rêvais de fraîcheur :
Voyager sur un iceberg, un parapluie en guise de pagaie.
J'allais m'assoupir, lorsqu'une perruche
sur le bord de ma fenêtre attira mon attention.
Quelle élégance avec ses couleurs chatoyantes !
Je me lève moitié chancelante
pour aller à sa rencontre.
Elle s'envole dans la pénombre
et de constipation il n'en fut pas question
prise de peur
elle massacra ma moquette en deux pirouettes.
Croc (pas de lien valide)
"Rarement la constipation permet avec élégance de se libérer de la sanie dont on est farci. A se massacrer les tripes, en se gavant, par exemple de sucre La perruche, on finit en serpillière, avec le sentiment d’avoir avalé un parapluie. On a beau transpirer, on ressent un froid digne d’un iceberg, et pour se libérer, on finit par fumer la moquette."
Je me souviens qu'il m'a passé le parapluie et que c’est après avoir mangé ce petit farci, que nous avons fait de la constipation, ce fut un massacre, et cette maudite moquette couleur perruche aussi élégante qu’un iceberg nous a fait transpirer à force de passer la serpillère.
La fille de Violette
Me voilà prise de constipation, moi l'élégance même...Mais à force de manger des tomates farcies, mon estomac s'en est trouvé massacré !!!
Et quand je vois ces deux perruches idiotes se moquer de moi, pas question de sortir la serpillière de par mes larmes, je les laisse faire leur shopping sous la pluie avec leur parapluie dernier cri et je m'en vais transpirer tranquillement avec mon CD de gym sur internet. L'iceberg est en elles mais moi j'ai le coeur chaud et hummm ,vive l'amour sur la moquette !!!! Hihi
Christelle
Les bignoles du quartier latin
Avec leurs visages de victimes de constipation chronique
D’une rare élégance excentrique frisant le comique,
La tête farcie d’idioties, les deux perruches du quartier
Se dandinent sous la pluie avec leur parapluie défraîchi.
Elles seraient plus utiles avec une serpillière à la main
Vivant de mensonges, de ragots à se faire massacrer,
Inutile de voir la moindre émotion ou gentillesse transpirer
Trop aigries, le cœur iceberg par les frustrations subies
Elles ne sont bonnes qu’à nettoyer ou fumer la moquette.
Quelle tristesse ces vieilles bignoles du quartier latin !
Les parapluies de cherbourg ,
Les trottoirs mouillés à passer à la serpillière ,
pourtant un rayon de soleil transpire à travers les nuages ,
l'élégance des dernières vacancières fait chaud au coeur ,
le cidre , soyons vulgaire, va les guérir de leur dernière constipation ,
des perruches assises derrière la vitre d'un café,
des enfants mangent leur glace grosse comme un iceberg
qui dégouline sur la moquette massacrée
Une gentille participation d'une lectrice, Elise, sans blog
Après cette saloperie de constipation
qui m'a enlevé ma motivation
de ces traitements, je suis farcie
tant mieux tout cela est fini.
Avant d'aller au jardin, je passe la serpillière.
Tiens ! elle s'est enfin décidée à fleurir cette rose trémière.
Envie d'une boisson fraîche, je sors les petits icebergs
puis retourne au jardin avec " La bible de Gutenberg".
Dans les arbres les nichoirs abritent les perruches.
Il faut que je remplisse les cruches.
Des monticules de terre ces taupes, pas moyen de s'en débarrasser,
je crois que je vais les massacrer....
Ce massif se remarquait de par son élégance
Oh mon dieu quelle malchance !
Pour le mettre en oeuvre il m'a fait transpirer.
Je m'y attardais pour le respirer,
quelques plantes déracinées, mais à l'humidité sur cette moquette
elles ne reviendront que plus coquettes.
Tiens, on dirait la pluie
qu'importe, je prends mon parapluie.
Mon voisin - c'est un vieil homme qui a toujours l'air d'avoir une constipation chronique -
De son élégance, n'en parlons pas, avec son pantalon trop large,qui date du temps où il était dans la force de l'âge -
Il a la manie de massacrer d'un geste rageur, les insectes qui passent à sa portée
Sa peau est farcie de taches de vieillesse
Sa seule compagnie est une vieille perruche déplumée, qu'il laisse en liberté dans son humble demeure
Je vous laisse deviner les saletés que fait cet oiseau, aussi de temps en temps , il essaie bien de passer une serpillère aussi sale que le sol
Heureusement qu'il n'a pas de moquette, seulement du carrelage
Le moindre effort qu'il fait , le fait transpirer, tant il est faible
Aujourd'hui, il pleut - d'une main il a sa canne et de l'autre il tient un parapluie qui se retourne à cause du vent -
Il ne sourit jamais, les yeux dans le vague - il a la froideur d'un iceberg - personne ne lui a tendu la main quand il en avait besoin
La solitude est son lot
| Voilà deux jours pris de constipation Avec grande élégance sur le trône occupant la position Dans le salon cantate des perruches Comme abeille devant la ruche La panse trop farcie Par l’effort transpirer Fini par massacrer la cuvette Débordement besoin de serpillière Pour célébrer l’événement un Iceberg dans le verre M’attend à la buvette Horreur voilà la pluie Je m’abrite sous un parapluie Hélas trop de boue sur le chemin Marque la moquette, Aspirateur en main La refait coquette |
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Bonne lecture et merci à vous tous qui papillonnez en ce site.
Sans elle, ce blog ne serait
pas