L'histoire d'un parcours de vie changé par des douleurs morales et physiques dues à la chirurgie esthétique. Alors depuis : "La vie ne se compte pas en respirations mais en moments qui t'ont coupé le souffle"
Par Lmvie
" Il n'y a que deux conduites avec la vie, ou on la rêve ou on l'accomplit ". Victor Hugo
Les difficultés de relation viennent non seulement du contact (peur du rejet, d'être "englouti") mais aussi dans le retrait.
S'éloigner de son objet une fois satisfait, reprendre conscience de son être pour aller vers un nouveau contact.
Je vais essayer de vous éclairer un peu si vous le désirez :
Cette notion commence dès le plus jeune âge quand le besoin de retrait se fait sentir chez l'enfant.
Mais si... vous avez déjà entendu ceci de la part de votre mère ou de votre père :
Viens ici !
Où es-tu ?
Où vas-tu ?
Questions rabachées dès que le BB veut marcher, explorer...
Et cette mère d'ajouter : Il ne quittera jamais sa maman chérie hein ?
Et la grand mère (ou la mère) qui en remet une couche : Alors on n'aime plus sa Mamy ?
"Finis ta soupe", "mange ta purée"...alors que l'enfant veut quitter la table.
Et comme on est "gentil", un peu peureux, on "colle" à sa maman, à sa grand mère, à sa purée et plus tard à son conjoint.
Dialogue fréquent :
"J'ai envie d'être un peu seul (e)".
Ah, tu ne m'aimes plus !
De cette difficulté de retrait naît la lassitude, l'ennui, l'habitude dans son mécanisme, la nourriture ingérée sans être savourée, les paysages regardés sans être appréciés, l'acte sexuel en répétition et non plus en "ouverture" sur l'autre.
Ainsi on se retrouve "divisé" (e) en deux, entre son désir de retrait et son interdiction.
Cela vous parle ?
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