L'histoire d'un parcours de vie changé par des douleurs morales et physiques dues à la chirurgie esthétique. Alors depuis : "La vie ne se compte pas en respirations mais en moments qui t'ont coupé le souffle"
" Apéro : Les verres de contact ". Antoine Blondin 
Si vous avez raté l'article précédent c'est ici.
Quel mal on se donne pour constituer une "image" cohérente de nous mêmes !
Non?
Mais si...
La bonne mère.
L'employé modèle.
Le mauvais garçon.
La petite fille sage.
L'intellectuel...etc etc
Toute une vie !
Pour "réussir" (que je mets entre guillements et vous comprenez bien entendu pourquoi,) nous avons éliminés tous les contacts qui ne "collaient" pas avec cette image.
Cette "amputation" nous a donné la considération ou le rejet de notre entourage mais nous sommes "convaincus" qu'il s'agit là du meilleur moyen d'insertion social.
Ah bon ?
N'avez-vous pas des conflits intérieurs ?
Des angoisses ?
Alors la remise en question peut être un choix mais souvent rejeté car la "peur" est là.
Oui la peur.
Si je m'autorise à changer, à explorer de nouvelles possibilités de comportement, de nouveaux modes de connaissances, pourrai-je prendre le "risque" d'aborder un inconnu qui me terrorise ?
Serai-je abandonner par mes proches ?
Alors plutôt que de prendre ce risque, la plupart d'entre nous pour ne pas être "rejetés", "submergés" renonce.
On regarde sans voir, on écoute sans entendre, on parle sans signifier, et on vit sans vivre sa vie.
Ainsi se déclenche un "mal être".
Et vous quel risque prenez-vous ?
Suite ici.
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