L'histoire d'un parcours de vie changé par des douleurs morales et physiques dues à la chirurgie esthétique. Alors depuis : "La vie ne se compte pas en respirations mais en moments qui t'ont coupé le souffle"
Par Lmvie
" L'homme dissipe son angoisse en inventant ou en adaptant des malheurs imaginaires ". Raymond Queneau
Exemple:
L'enfant ressent le besoin de se faire câliner par sa mère.
Il se dirige vers elle et grimpe sur ses genoux.
"Arrête d'être toujours collé à ta mère" dit le père de sa grosse voix.
Effrayé par l'ordre l'enfant part dans sa chambre et va attendre que sa mère vienne.
Mais rien ne se passe.
Il va revenir en se disant : " Je suis grand je n'ai pas beosin de câlins".
Et tout au long de sa vie il va tenter d'assouvir cet "inachevé":
Soit il passe brièvement d'un être à l'autre sans jamais combler son vide, soit il reproduit indéfiniment la réponse de "sauvegarde" utilisée à l'époque : "Je suis grand je n'ai pas besoin de câlins".
Le choc émotionnel avec cette tâche inachevée demeure longtemps en mémoire.
Cela peut-être momentanément "soulagé" par une activité ou un comportement de remplacement.
Ainsi le caractère se détermine : timide, coléreux, sensible etc.
Le travail de deuil est capital, car on peut "être mort" avec un père décédé ou une mère si ce ne fut pas "achevé".
Toute tentative d'être heureux ou heureuse peut se solder par un échec ou pas...
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