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30 juin 2008 1 30 /06 /juin /2008 08:19

                                                                  
                                                                    




                  

                       "Il y a une différence capitale entre "être" et "en être". Woody Allen


J'en étais.
J'allais faire partie de ce cercle restreint pour essayer un peu plus "d'être".
Les autres:
Jeanne Marie, mère de Didier avec qui le contact allait être plutôt difficile.
Et pour cause.
Généralement quand on ne supporte pas quelqu'un à priori c'est qu'il y a en cette personne : "du même".
Oui du même que vous, et plutôt que d'admettre qu'on pourrait éventuellement lui ressembler par tel ou tel défaut l'être humain préfère le trouver odieux ou désagérable.
Surtout pas soi, l'autre.
Tiens donc.
Par contre si c'est une qualité aucun problème pour se l'attribuer...tu m'étonnes !!!
J'étais heureuse que mon mari soit là.
Il avait fait un pas.
Pour lui d'ailleurs, surtout pour lui.
Mais je me disais que peut-être nous allions nous rencontrer, nous trouver.
Je ne dis pas nous "retrouver" car nous avions changé, lui un peu, moi beaucoup.
La grande Solange était là, toujours aussi grande et toujours aussi embrouillée et confuse, mais elle était tellement attendrissante de par cette maladresse.
Nous entrâmes dans une immense grange restaurée aux poutres de bois apparents, magnifique.
Nous nous asseyâmes en cercle comme il se doit.
Jeanine arriva alors.
C'est elle qui mènera le stage, elle entra flanquée de trois thérapeutes dont Marie Line.
Une femme superbe cette Jeanine.
L'intelligence et la beauté réunies.
Le cadre était beau, la thérapeute aussi, cela nous changeait de toutes nos laideurs intérieures.

 

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26 juin 2008 4 26 /06 /juin /2008 15:55

                                                                                                        



            "Je pense à tout ce que la peur va posséder et j'ai peur, c'est justement ce que la peur attend de moi". Alexandre O'Neill




Lors de nos échanges de lettres, Didier m'avait avoué son homosexualité.
Je dis avouer volontairement, car c'était à l'époque encore une sorte de "honte".
C'était tu, montrer du doigt encore...connerie où te loges-tu ?
Partout.
Lors de notre rencontre parisienne il m'avait expliqué comment il avait contracté sa séropositivité.
Une rencontre fugace, dans un train, un rapport sexuel effectué dans les toilettes d'un wagon, comme un acte désespéré, comme un suicide, il avait réussi son coup ce pt'it con.
J'étais seule à connaître ce "secret".
Personne de sa famille le savait.
Il assumait par contre pleinement son homosexualité, qu'il avait enfin découverte lors de sa thérapie.
Il était venu à ce stage d'hypnose accompagné de sa cousine qui se droguait et de sa mère.
Etonnant...
Non pas la cousine, mais la présence de la mère, remarquez moi j'étais bien avec mon mari à qui je servais souvent de mère à l'époque comme nombre de femmes.
Mylène sa cousine donc, dissimulait en plein été, tant bien que mal, les traces des piqûres qui ravageaient ses bras.
A vingt ans, la tristesse et la torture psychique avaient remplacé sur son visage,  le sourire de jeune femme qu'elle aurait dû avoir à cet âge merveilleux soi-disant.
Ses traits criaient son appel au secours.
Je n'oublierai jamais.
Elle aurait pu être mon enfant.
Elle était de toute façon pour moi, une enfant.
Didier aussi.

 

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24 juin 2008 2 24 /06 /juin /2008 13:58











"La peur ne peut se passer de l'espoir et l'espoir de la peur". Honoré de Balzac




Les paroles furent inutiles.
Nous tombions dans les bras les uns des autres.
Je savais pourquoi Didier était ici.
Lui aussi était rentré en France après son baccalauréat pour suivre des cours de théâtre.
Il m'avait écrit à plusieurs reprises, un échange épistolaire empli d'un amour amical.
Mais il m'avait crucifié le jour où je lus ces lignes : "Je suis séro positif".
Je l'avais quitté dans un état plus que moyen et allai le retrouver  "pourri par cette saloperie" comme il disait lui-même.
Il avait souhaité me rencontrer à Paris avant le stage pour prendre un thé ensemble et nous dire ce que nous étions devenus après notre retour sur la terre patrie.
Je le reverrai toujours descendre les Champs Elysées à ma rencontre, magnifique, mais avec un visage grave et des yeux éteints.
Nous nous asseyâmes dans un café et je tremblais.
A l'époque, rien à voir avec maintenant, la séropositivité était chose effroyable, méconnue et terrifiante.
C'était pour ainsi dire, la peste.
J'étais idiote et j'avais peur d'être contaminée s'il prenait ma petite cuillère pour tourner son café.
Oui je l'avoue j'avais peur mais je lui ai dit, car nous pouvions nous dire nos sentiments et nos émotions.
Il a souri et moi aussi, il comprenait et savais qu'en fait il n'en était rien et que  si je lui avouais ma crainte c'est que moi au moins contrairement à tant d'autres je ne le fuyais pas.
Non je ne fuyais jamais.
J'aurai dû quelques fois mais je ne fonctionnais pas ainsi du moins pas encore.

 

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22 juin 2008 7 22 /06 /juin /2008 08:13

        




       

   "Il y a peu de différence entre un homme et un autre mais c'est cette différence qui est tout". William James

 

 J'étais si heureuse de revoir Didier et Solange.

Etre entre amis c'est une chose fort agréable, retrouver des personnes avec qui vous avez laissé vos tripes, ou du moins une partie sur la table, crée un lien très très particulier.
Rien à voir avec la famille et différent de l'amitié.
C'est unique.
Rien que pour avoir connu et  fréquenter encore à ce jour des personnes avec qui je l'ai partagé, par moments me console de mes souffrances.
C'était peut-être un prix à payer pour découvrir quelque chose "d'exceptionnel".
Et moi j'aime l'exceptionnel, je vous l'avoue humblement, j'aime l'originalité, j'aime ceux qui ont un "pet au casque" comme dirait mon psy, oui la différence engendre la richesse.

Panurge et ses moutons m'assomment littéralement.
Nager à contre courant me convient parfaitement même si c'est plus difficile, j'en ai eu des retombées peu agréables souvent, maintenant avec l'âge je me délecte de le faire.
Jeune vous révoltez les autres et entraînez conflits, plus âgée vous distancez.

Ma phrase préférée en psychanalyse est la suivante: 

"Avant je faisais pipi au lit, alors j'ai fait une psychanalyse, je fais toujours pipi au lit mais maintenant je m'en fous complètement".


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20 juin 2008 5 20 /06 /juin /2008 16:12

                                                            

           "Jouis il n'est pas d'autre sagesse, fais jouir ton semblable, il n'est pas d'autre vertu". Etienne de Senancour

 

Encore un pari facile, tiens.

Je sais qu'une dépression est difficile pour l'entourage, le malade comme moi je l'étais, en voie de guérison, se remettait en question sans cesse.
L'autre n'a plus de repère, il ne se retrouve plus dans le fonctionnement de la famille.
Je maintenais mon cap pourtant, ne le lâchais pas et ne le lâcherai jamais malgré ce qu'il m'en coûtera parfois, voire souvent.
Le temps permettra, je crois, une meilleure compréhension même si elle est lente, et même si elle n'a jamais lieu, je ne pouvais pas me laisser sur le bord du chemin et regarder les autres vivre avec l'envie permanente de disparaître à jamais.
Je souffrais toujours terriblement et j'allais, une fois de plus, sur les conseils de Marie Line que je revis en France, essayer l'hypnose.
Une amie à elle, Janine, qui avait étudié une de ces méthodes aux Etats Unis proposait un stage de cinq jours dans la région de Cahors en sa propriété.
Je m'inscrivis.
A l'issue de ce séjour, les douleurs devaient avoir disparues (dixit Marie Line).
Imaginez, j'allais être libérée de cet enfer enfin après déjà deux années !!!
En écrivant ces lignes je dois multiplier maintenant deux par dix.
Mais il fallait que je crois, à chaque tentative je reprenais un peu de vigueur, chaque essai était mon espoir, ma survie.
Et de plus nous nous retrouvâmes à dix... dont Didier et la Grande Solange !!!


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18 juin 2008 3 18 /06 /juin /2008 05:53



       
"Faute de pouvoir voir clair, nous voulons à tout le moins, voir clairement les obscurités. Sigmund Freud

       
                                                                                                                                                    
Je rectifiais peu à peu mon attitude envers mes filles.
Je crois qu'aujourd'hui elles ont oublié ce passage, peu importe.
Oui je m'étais trompée et j'entendais rectifier du mieux que je pouvais mes erreurs.
Il n'y a pas de manuel pour apprendre à être mère ou père.
Elles étaient "bien élevées" comme on dit, elles apprenaient parfaitement en classe, polies, "polissées" ou policées...?
A partir de là on se dit en tant que parents, j'ai "réussi" l'éducation de mes enfants...sornettes !!!
Comme tout enfant elles étaient imprégnées de nous, de mon mari et de moi et de ce que nous mêmes traînions depuis l'enfance bien entendu...
Il fallait qu'elles trouvent leur "elle"-même".
Il était temps.
J'allais rompre une chaîne sans fin héritée de mes propres parents et grands parents.
Notre empreinte en tant que géniteurs est tellement "énorme" que nous ne nous rendons compte quasiment de rien.
D'où l'expression populaire utilisée quand elle arrange seulement : "Les chiens ne font pas des chats".
Quand ça dérange on préfère passer à autre chose.
Allez dire à une mère ou à un père..."vous savez là, vous avez tout faux" !!!
Je ne m'y risquerai jamais.
Par contre moi, je savais que j'avais commis des erreurs grâce à ce travail et l'admettais.
Oui je m'étais trompée, mais si j'avais su avant...oui mais avec des si...
Nous discutions toutes les trois, beaucoup, nous nous écoutions.
Tout ceci ne se fait pas sans douleur non plus,
Ecouter l'autre, s'écouter, entendre le sentiment quand il surgit, le reconnaître, savoir que c'est le bon et ne pas être dans la confusion, et enfin agir en fonction.
Elles m'avoueront plus tard que leur rapport avec les autres avait changé.
J'essayais simplement d'adoucir une adolescence blessée.
Ce fut le cas je crois mais je paierai plus tard assez cher d'avoir admis ne pas être la mère "parfaite" et d'avoir laisser la "brèche" entreouverte à de possibles reproches.

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13 juin 2008 5 13 /06 /juin /2008 09:23

                                                     






              "j'ai survécu à pas mal de colères, je les ai remplacées par de l'amour, la vie n'est qu'une longue guérison". Sean Penn










Moi aussi j'ai fait comme lui  (Sean Penn).
Moins fatigant .

"Ils ne font qu'un"...
J'ai des frissons à l'écoute de cette phrase.
Lors d'un mariage vous l'entendrez quasiment à chaque fois.
Re aïe !!!
Cette espèce d'osmose malsaine de deux êtres et complètement dévastatrice qui ruine les couples au fil du temps, m'effraie totalement.
Qui est qui ?
Après ce début de travail, puisque je vous l'ai déjà dit je continue toujours à ce jour, je voulais d'un couple fait de deux personnes bien distinctes, côte à côte et non l'un dans l'autre, sauf pour l'acte sexuel bien évidemment.
Ce n'était pas la solution de facilité, loin de là, mais tel serait mon combat et je n'en démordrai pas, quoiqu'il puisse arriver, m'arriver, quoiqu'il m'en coûtera...
Je combattais les douleurs, je pouvais maintenant, je crois, combattre les deux de front.
Je connais tellement de couples qui se laissent, tranquilles, vivre dans l'indifférence totale ne partageant plus rien, si l'habitude, ou qui choisissent le divorce ce qui est encore plus simple.
Ah non pas le divorce, pourquoi faire ?
Recommencer avec un autre, pour qu'au bout de quelques années, une fois la passion éteinte, car elle s'éteint obligatoirement, la routine s'installe, et que je supporte encore moins les mêmes choses à peu de différences près.
"Refaire sa vie"...encore une expression stupide.
On ne refait rien.
Ce qui est fait est fait.
La continuer oui.
Le plus dur n'est pas non seulement de durer, mais de s'étonner encore, de rire ensemble, de casser ce fichu train-train mortel, se renouveler.
C'est à mon avis plus complexe que la rupture.
Dans une nouvelle rencontre où se trouve la difficulté ?
La personne à elle seule est "neuve" temporairement...cinquante pour cent du chemin est fait.

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12 juin 2008 4 12 /06 /juin /2008 12:43

   








      "Partir ne mène nulle part, j'ai mis longtemps à le comprendre, mais pour cela sans doute était-il nécessaire d'avoir fait tout le chemin". Antoine Marcel


Je souhaitais garder mon individualité, me préserver, me protéger encore des problèmes des autres.
Je ne pouvais pas recevoir tout à la fois.
Sans doute avez-vous vu "Un air de famille" d'Agnès Jaoui que j'ai dégusté nombre de fois tant pour ses dialogues, ses acteurs, son schéma familial type, et son parler "vrai".
J'avais envie de lui dire tout simplement comme Bacri dit à sa soeur dans le film: "Chacun son sexe et les vaches seront bien gardées".
Tout est dit.
La fameuse fusion des couples.
S'aimer est une chose, se confondre avec l'autre en est une autre.
Confondre son désir et celui de l'autre combien de fois l'ai-je vu...et vous aussi bien sûr.
T'as pas envie d'aller au ciné ce soir ???
Taratata...
La bonne question est je crois: "Je désire aller au cinéma ce soir, souhaites-tu m'accompagner ?"...
Oui mais dans la deuxième on s'engage avec le "je", alors là pas question...oula !!!
Dans la première c'est de la responsabilité de l'autre...chic, si cela merdouille ce sera de sa faute !!!
De plus vous énoncez votre désir réel et vous laissez le choix à l'autre.
C'est tout bête mais pas si simple à mettre en application en PERMANENCE. 
Pas mal non plus...le "on va au ciné" avec l'anonymat du "on".
Ni vu ni connu.
Ce n'est qu'une affaire de cinéma...pas grave.
Mais si le fonctionnement est ainsi qu'en est-il pour le reste ?
Voir titre de l'article: Con...Fusion.

 

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10 juin 2008 2 10 /06 /juin /2008 08:11
   






"N'ayez d'intolérance que vis à vis de l'intolérance". Hippolyte Taine




Mon mari revenait tous les quinze jours passer le week end. Il était habitué comme dans beaucoup de couples à ce que j’écoute ses problèmes de travail
Je le faisais depuis dix huit ans , et j’avais pris les devants en lui disant de ne plus m’en parler.
Aïe !
C’était clair.
 Je commençais aussi à m’exprimer en fonction de mon parcours c'est-à-dire en évitant nombre de détours utilisés généralement dans le langage, enrobant ce qu’on souhaite dire, évitant ainsi ce qu’on a à dire vraiment, et surtout dissimulant les sentiments qui pourraient émergés concernant notre petite personne et qui risqueraient de faire mal.

Jolie protection.

Allez on met le bouclier et on discute.

Non pour moi cette méthode était terminée.
Ce n’était pas du raisonnement, c’était de l’acquis définitif qui d’ailleurs n’ira qu’en s’améliorant.

Il faut savoir par contre que tout travail entraîne un « non retour ».

Ce dont vous vous êtes désenglué, lavé, « limpidifié » (je viens de l’inventer mais je ne trouvais pas le bon mot) sera à jamais quitté.

Donc pas de marche arrière sur l’ancienne personne…

Ne pas s’inquiéter il en reste toujours un peu.

Mais oui je devenais « limpide » enfin pas tout à fait mais le brouillard commençait à se lever.

BonJOUR…et non Bon NOIR !!!

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8 juin 2008 7 08 /06 /juin /2008 10:27

 

 

    " Les hommes ont tout perfectionné, sauf les hommes ". Proverbe américain


Je me sentais très proche à l'époque de ce que dit aujourd'hui Pascal Fioretto: "Les hommes mangent des Mars et les femmes des Bifidus".
Etait-ce seulement dû à ma dépression ?
Avec le recul je n'en suis pas si sûre.
Chacun sa planète.
J'étais habitée d'une sorte de sérénité nouvelle.
J'appliquais les conseils du Tao, me préoccupant du problème lorsqu'il surgissait et non avant, ce qui m'évitait d'envisager toutes sortes de solutions qui risquaient d'être inutiles si le problème n'apparaissait pas.
Le peu d'énergie que j'avais, je le gardais à notre réinsertion et à ma réinsertion "intérieure" si je puis dire.
J'avais en ces temps encore en moi, ce qu'on appelle le sentiment de "rancune", pas seulement envers lui mais envers toute ma famille bien sûr, sentiment destructeur par excellence, mais qui ne s'envole pas ainsi du jour au lendemain sans un certain travail et un avancement de quelques années dans le dit travail.
A l'heure où je vous écris ce sentiment m'est devenu étranger et cela fait un bien fou.
Auparavant je parlais sans cesse, faisais du bruit dans la maison, riais trop, agissait beaucoup.
J'étais silencieuse et pensive.
Mais on ne se reconstruit pas d'un claquement de doigt.
Il y a des étapes par lesquelles il faut passer.
Et c'est lent, un pas après l'autre.
Permettez que je souffle.


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Une Part De Moi

  • : Motspourmaux
  • : L'histoire d'un parcours de vie changé par des douleurs morales et physiques dues à la chirurgie esthétique. Alors depuis : "La vie ne se compte pas en respirations mais en moments qui t'ont coupé le souffle"
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Savourer un livre, déguster un met, un vin, un moment avec un (e) ami (e). 
Vous autres m'intéressez particulièrement sans oublier Paris, les voyages et la psychanalyse
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Ceci est une histoire

 

 


Attention ce ne sont pas des articles indépendants les uns des autres, quand vous ouvrirez mon blog vous serez sur le début de mon histoire c'est pourquoi ma présentation commence ainsi et non par ma dernière parution.
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