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3 août 2008 7 03 /08 /août /2008 15:42
  



       "Les enfants sont le symptôme de leurs parents". Françoise Dolto   


Oui cette chose m'obligerait à faire l'effort de respirer.
J'avais une barre au niveau de l'estomac qui quelques fois encore revient même maintenant.
Elle était apparue après l'intervention et me sciait littérallement en deux.
Je dis bien "scier", pour ceux qui suivent mon histoire, ils se souviendront de l'accident survenu à  mon frère.
Je dois la "passer" pour trouver mon air.
Ce n'est pas simple du tout et cela me demandait un effort de concentration très particulier et surtout un travail que je dus accomplir quotidiennement pendant des années qui s'appelle la respiration ventrale bien connue mais pas si aisée.
J'entrepris des séances de relaxation afin de tout simplement "respirer" car je m'étouffais.
Une façon comme une autre de s'arrêter de vivre et de se suicider.
Chacun sa méthode.
Cette barre, j'en avais plusiers fois parlé à Adam quand j'étais en thérapie avec lui.
Quand ne l'aurai-je plus ? lui avais-je demandé.
Réponse: "Quand tu n'en auras plus besoin..."
Il faut bien s'accrocher ou plus exactement se raccrocher à quelque chose, chacun déclenche le symptôme qu'il peut.
Petite, dans la maison de mon enfance, se trouvait un énorme portail de bois, lourd soutenu par une barre transversale en acier.
J'avais l'habitude de m'y pendre tête en bas en attendant le retour hypothétique de mon père dont les voyages et absences étaient fréquents.
Je défiais ainsi ma mère qui criait sans cesse: "Tu vas te fracasser le crâne".
Que peut-on faire de pire à une mère si ce n'est de lui faire peur...
Et on appelle cela "l'innocence de l'enfance" ?

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2 août 2008 6 02 /08 /août /2008 22:15
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                      










            "L'expérience est le nom que chacun donne à ses erreurs" Oscar Wilde






Pour le moment, mon visage maintenait sa solidité compacte.
Son état ne s'améliorait pas, pire il s'aggravait.
Je n'ai pas précisé que les muscles eux aussi avaient été coupés, afin d'assurer longévité au lifting.
"Vous en avez pour quinze ans" m'avait claironné l'assistante du chirurgien à l'époque.
Maintenant en y repensant j'entends là comme une sentence: "Vous en prenez pour quinze ans"...de tôle, d'enfermement, d'isolation, de solitude...non ce n'était pas pour quinze ans que j'en avais pris mais pour perpète...
Mon visage me donnait la sensation d'un bloc de pierre sur lequel un plastique, ou un plâtre avait été coulé.
Aujourd'hui ma jambe est dans le plâtre pour rupture du tendon d'Achille et je vous assure que la sensation  à côté est de la rigolade pour moi.
Lorsque je penchais la tête en avant, la peau se plissait ainsi que la chair et ne suivait pas les muscles.
Elles restaient suspendues aux tempes comme agrafées et pendaient lamentablement sous les yeux.
Sous mes yeux effarés.
Le sang affluait de façon anormale, ne trouvant pas d'issue par les canaux normaux puisque sectionnés et gorgeait ainsi ma face lui donnant l'aspect du fameux ballon rouge de notre enfance sauf que celui-ci m'épouvantait.
J'étais un mollusque hideux.
J'avais envie d'arracher cette espèce d'enduit ramolli qu'étaient devenues ma peau et ma chair.
Certaines rides réapparaissaient sans correspondre à mes expressions.
Un ancien moi physique, superposé par un nouveau moi inconnu qui ne correspondait à rien.
Présage ?
Une esquisse d'un devenir, mais je l'ignorais encore à l'époque, à cet instant précis je n'avais pas de sens.
Chaque réveil le matin et non ma nuit était un cauchemar.
A peine ouvrai-je les yeux que c'était là...
Je ne pouvais pas nommer le "c'était là", plus tard je saurai que c'est le "ça"...mais nous n'y sommes pas encore.
Mille quatre cent soixante réveils ont tué mon espoir et il y en aura encore bien d'autres, pour le tuer et me tuer intérieurement.
Cette chose allait encore accompagner ma journée.

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1 août 2008 5 01 /08 /août /2008 21:22

                                                                                               
    "Deux sortes de temps le temps qui attend, le temps qui espère". Jacques Brel



Je décidais d'effectuer des travaux dans la maison.
Après mon chantier intérieur, j'attaquais celui de l'espace où nous allions vivre ensemble tous les quatres à nouveau.
Une nouvelle vie dans un nouveau pays, la France où nous n'avions jamais résidés ensemble, avec un nouveau visage.
Quel bonheur après dix neuf ans de mariage de sentir à nouveau les effluves de l'amour vous envahir comme à seize ans.
Je m'étais pendue et accrochée aux ailes de Jonathan et je ne les avais pas lâchées.
J'avais décollée avec lui.
Mais qui dit décollage dira atterrissage à nouveau...bien entendu...
Ceci dit je ppréfère décoller, atterrir, redécoller, atterrir de nouveau et prendre tous les élans possibles et nécessaires pour donner à ma vie un souffle nouveau à chaque fois qu'elle en aura besoin plutôt que d'attendre le miracle qui n'arrive jamais appeler "changement" et de me lamenter sur mon sort sans en prendre les rênes.
C'est certain, il y aura de nombreux faux décollages, des à l'arrachée, des atterissages sur le ventre, des dérapages incontrôlés, des trous d'air, des trous sans air mais au final de merveilleux moments pour planer.
Le tunnel s'éclaircissait malgré la déception de ne pas m'être libérée de mes douleurs pendant ce stage.
Mais j'en étais ressortie plus riche, et ce ne sera que le début de mon enrichissement.
Oncle Picsou a entassé de l'or, un vrai trésor, moi aussi mais le mien n'est pas quantifiable si ce n'est qu'il m'a fait exploser le coeur maintes fois.
Un parcours n'est pas exponentiel, il est fait d'accidents, de doutes, de désamours et de retrouvailles.

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31 juillet 2008 4 31 /07 /juillet /2008 21:00
                
  " C'est au fond de la caverne que naît l'espoir ". Michaël Sebban

Nouveau départ
Au cours d'une scène violente en cet état de conscience altérée, deux centimètres carré de mon visage s'étaient débloqués...
Oui, un espace minuscule venait de se libérer, du côté gauche à l'endroit de la déchirure.
Je pleurais tout simplement.
C'était donc possible de le débloquer...
Je ne trouverai jamais les mots, n'étant qu'une modeste narratrice pour vous exprimer mon sentiment en cet instant.
Je ne les trouve pas.
Je n'en ai pas.
Ce phénomène ne durera hélas que cinq heures...oh oui j'ai regardé ma montre, je puis vous le certifier.
Ce laps de temps écoulé cette parcelle de visage redevint acier comme le reste.
Mais en moi la vie pointait.
Je pouvais redevenir "normale"...là aussi je n'ai pas d'autre mot...et en plus je déteste ce mot stupide...normal ?
cela ne veut rien dire du tout pour moi...sauf dans le cas de mon visage, il pouvait peut-être redevenir comme avant...
Je pouvais, arracher de mes tripes ce masque de fer, du moins l'ai-je cru en cet ces heures.
Moi ce n'était pas "être une heure rien qu'une heure seulement beau et con à la fois" mais une heure "rien qu'une heure durant" sans souffrir physiquement.
Le langage ne représente que sept pour cent de la communication entre deux personnes...le saviez-vous ?
Moi non à l'époque, je l'appris plus tard et je compris comment la gestuelle, les fuites d'un visage, une toux, un battement de cils, un silence peuvent exprimer mille fois plus qu'un mot...
J'ai compris à ce moment qu'un nouveau départ aurait lieu.

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18 juillet 2008 5 18 /07 /juillet /2008 14:55

                                                                                                  

   "La vie est une maladie de la mort". Louis Nucéra

 


Je ne sais pas.
Je ne savais plus.
A qui m'adressais-je ?
"A moi" murmurai-je dans un souffle à demi étouffée.
"Change ta décision, tu n'en plus besoin, jette la, celle là tu l'as prise en naissant, prends en une autre immédiatement" me sommait-elle.
J'ai cru que j'allais éclater.
J'étais compressée.
J'ânonnais de nouveau.
Je bavais lamentablement, écumant par quelques respirations arrachées.
Et je sortis enfin : "Je vais vivre sereinement".
Je me suis extraite douloureusement de leur étreinte d'acier.
La sérénité viendra mais elle mettra quelques années de plus...
J'ai bien dit la sérénité pas la disparition de la douleur.
Cette méthode révèle qu'au seuil de notre apparition sur cette terre nous avons tous pris une ou plusieurs décisions sur notre comportement futur et que ces décisions étaient mauvaises, nous faisant souffrir une bonne partie de notre vie, ou nous faisant échouer.
Le but était donc de repasser par cette phase pour changer notre décision primitive.
On y croit ou pas, peu importe...
Moi j'aurais pu tout essayer ne serait-ce que pour vivre une minute de ma vie sans souffrance physique.
Oui tout.
Que ne donnerai-t-on pas pour arrêter l'enfer...?
Vendre son âme ?
Tiens cela me rappelle quelqu'un...


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14 juillet 2008 1 14 /07 /juillet /2008 14:25
                 







"La vraie peur c'est quelque chose comme une réminiscence des terreurs fantastiques d'autrefois". Guy de Maupassant

Mon tour arriva enfin le quatrième jour.
Je laissais enfin tomber mes résistances à cette méthode et me laissais emporter dans ce monde inconnu.
Même dispositif, étouffant, pesant c'était le moins qu'on puisse dire, intolérable, c'était à hurler littéralement.
J'essayais de me dégager de ce poids invraisemblable, et là je fus coincée aux épaules.
Je ne pouvais émettre aucun son.
J'étouffais , j'ai cru que ma dernière heure était arrivée tant je manquais d'air, je sentais mes tempes battre à tout rompre, mon visage congestionné et de plus la circulation sanguine s'effectuait très mal du fait de l'étau de mon visage.
Je devais choisir entre mourir ou faire l'effort de vivre.
Et sous hypnose toujours, ces paroles sortir de ma bouche comme par miracle car je ne respirais quasiment plus..."Tu vas en chier"
Elles n'avaient aucun sens pour moi.
Jeanine se précipita:
"A qui dis-tu cela" ? cria-t-elle presque.

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8 juillet 2008 2 08 /07 /juillet /2008 12:09

                                                                                


                                                                                




                                           



                          " Comprendre c'est presque l'inverse d'exister". Georges Poulet




Je dédie cette citation à mon ami Marc dont la frustration sera grande comme suite à mon article "Comprendre ?" paru en date du 31 mai.
Et de ce fait la mienne aussi.

Je reprends ma narration.
L'exercice "d'extraction" était épuisant littéralement épuisant.
Mais nous y sommes tous parvenus car plus fort que tout était notre force à aller vers la vie en franchissant, en déchirant, en écartelant, en repoussant de toutes nos forces cette masse humaine.
Ce furent des moments plus qu'émouvants.
Nous avons tous sans exception, eu les larmes aux yeux de voir un ami, un mari, une mère, un enfant s'ouvrir à la vie dans le déchirement d'un cri.
La naissance pendant ce stage pouvait survenir plusieurs fois, autant que nécessaire à chacun.
A chaque fois ce fut le la même émotion, le même frisson qui parcourait nos corps, la même douleur pour l'acteur de cette séquence, mais chaque fois au final le même bien être pour tous.
Je revois Didier en état d'hypnose, debout sur une seule jambe tel un flamand rose, resté ainsi dans cette position pendant plus d'une demi heure, montre en main, ne perdant pas l'équilibre à mon grand étonnement vu la durée du travail, incapable de poser l'autre jambe à terre.
Ne pouvant pas vivre.

 

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6 juillet 2008 7 06 /07 /juillet /2008 16:15




      "Je ne cherche pas à connaître les réponses je cherche à comprendre les questions". Confucius




Impossible de me laisser aller à cet état d'hypnose.
En attendant que le miracle se produise j'observais les autres pour qui le processus fonctionnait à merveille.
Je puis vous dire que je fus impressionnée, avec impressionnée, on peut former "sonnée", c'était le cas.
Je le serai encore plus quand viendra mon tour, car oui mon tour viendra.
J'ai vu chacun d'entre nous "renaître".
Vous allez dire ça y est Lmvie a "un pet au casque", j'adore cette expression, non je ne délire pas, j'ai les idées claires et ce que j'ai vu est absolument authentique.
Ceci dit j'ai peut-être un pet au casque quand même.
Bref...
Je vous explique, il faut bien que vous en profitiez.
Quant l'un d'entre nous arrivait à cette état de conscience altérée, donc le "bon moment si je puis dire", car il allait passer en fait un mauvais quart d'heure, voire plus, parfois une demi heure et croyez moi c'est long, très long.
Tous les psychotérapeutes arrivaient, aidés par ceux qui n'étaient pas en état d'hypnose, se couchaient littéralement sur la personne, attrapaient jambes et bras qu'ils immobilisaient totalement, empêchant ainsi tout mouvement.
Cela représentait pour celui qui se trouvait dessous environ trois cent cinquante à quatre cents kilos de charge !!!
Que du bonheur...
A partir de cette immobilité totale, toujours en état d'hypnose, il fallait se dégager.
S'extraire de cette colossale masse humaine qui vous emprisonnait.
Vous l'aurez compris je suppose, cette elle représentait, le chemin plus que difficile et traumatisant par lequel le bébé doit généralement passer pour voir enfin le jour.
En un mot, naître.
Ou renaître ?

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4 juillet 2008 5 04 /07 /juillet /2008 17:12

                                        

 





 "En vouloir à sa mère n'est qu'une façon négative de s'accrocher à elle, toujours". Nancy Friday


En voilà une qui a entièrement raison mais c'est pas si simple le lien maternel, est même le plus complexe de tous.

Jeanne Marie, mère de Didier, autoritaire, acariatre, égoïste, mais courageuse d'être là pour affronter ses démons et aussi son fils.
Elle parla de lui, évoquant ce que classiquement une mère croit bien faire pour son enfant, notamment le "je voulais qu'il vole de ses propres ailes" et là je fus saisie de stupéfaction.
Jeanine et nous tous l'avions écoutée attentivement.
Jeanine la regarda bien en face et lui dit cette phrase terrible et pourtant vraie : "Tu n'aimes pas ton fils"
Et elle lui prouvera tout simplement.
Cette phrase fut prononcée en présence de Didier qui recevra cette révélation en plein coeur.
Un silence de plomb s'empara de la grange.
J'avais l'impression qu'un couperet venait de tomber.
J'avais froid.
J'avais à voir avec ce qui venait de se passer.
Premièrement j'avais des points communs avec cette femme, j'étais autoritaire comme elle, je le reconnaissais (j'en connais l'origine et je vous en parlerai), c'est pourquoi au premier abord j'avais fait un pas en arrière symboliquement bien évidemment en la voyant arriver.
Et elle me renvoyait aussi à ma propre mère dont l'amour me fut plus qu'incertain et dont j'ai douté toute ma vie.
Sans témoignage, sans jamais rien, difficile d'y croire.
Voilà à quoi sert aussi un groupe.
Même si vous n'êtes pas sur la sellette un écho se produit en vous, une résonnance, qui pourrait rimer avec sentence, bien qu'on ne soit pas dans un tribunal.
Ce qu'on découvre sur soi et qui est parfois proche de l'inacceptable doit être reçu, digéré, puis accepté pour se libérer mais je le répète faut-il encore admettre ses propres démons.
Il faut alors se laisser aller à ce qui vient.
Ne pas résister et se faire envahir par les remontées lointaines aux odeurs d'enfance.
Sentir et ressentir sans cesse et non raisonner.
Epuisant car j'étais dans l'émotion en permanence.


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2 juillet 2008 3 02 /07 /juillet /2008 16:45
                                                              
                                                                              
                                                                   




                                   "Ce qui rapproche ce n'est pas la communauté des opinions mais la cosanguinité des esprits". Marcel Proust





Donc Jeanine superbe disais-je apparut tel le messie.
Son visage buriné je l'enviais, elle avait des rides de trop de soleil, du vécu, elle était royale.
L'Afrique était présente aussi, puisque les trois quarts des participants y avaient vécu.
Nous avions peur, l'hypnose nous ne connaissions pas.
Enfin comme tout le monde, nous en avions entendu parler.
Mais était-ce la même chose ?
Moi j'attendais tant de ce séjour, je mettais tous mes espoirs en cette méthode, je voulais repartir libérée de mon étau.
"Etat de conscience altérée": prononça Jeanine.
Nous n'étions guère plus avançés.
Nous devions nous installés deux par deux, pour travailler, tous bourrés d'espoir et d'anxiété.
L'un devait être allongé l'autre à son côté, assis.
Ceux allongés devaient lever un bras, fermer les yeux, se détendre, et se laisser bercer simplement par la voix de l'autre qui comptait à rebours...trois, deux, un.
Il est certain qu'à un moment donné, très différent pour chacun, le bras levé tombe, et normalement vous aussi vous basculez dans cet état de "conscience altérée".
Bon d'accord.
Le stage durait cinq jours.
Et bien sûr trois jours durant rien ne se passa pour moi...impossible de "tomber" dans cet état...
Grrrrrrrrrrrrrrr !!!











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Une Part De Moi

  • : Motspourmaux
  • : L'histoire d'un parcours de vie changé par des douleurs morales et physiques dues à la chirurgie esthétique. Alors depuis : "La vie ne se compte pas en respirations mais en moments qui t'ont coupé le souffle"
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Ceci est une histoire

 

 


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